Boncourt s’est largement imposé à domicile face à une tenace équipe de Besa Bienne. Les hommes de Vincent Ducommun ont réussi un joli coup dans un contexte tendu.
Une partie maîtrisée et une victoire méritée pour Boncourt (photo Dédé Fridez)
Boncourt a ouvert la marque peu après la demi-heure de jeu sur une action initiée par Guillaume Borruat et un autogoal de Beqaj. Une réalisation qui permettait aux Ajoulots de concrétiser une légère domination. Riedo, bien servi sur corner par le même Borruat, trompait le portier biennois et Boncourt prenait le jeu à son compte jusqu’à tripler la mise par Tom Cerf, encore une fois bien servi par Guillaume Borruat.
Une partie disputée à l’image de l’engagement de Cordier, auteur d’une de ses meilleures prestations sous le maillot de Boncourt (photo Dédé Fridez)
À 3-0, les Jurassiens s’attelaient à conserver leur avantage. Les visiteurs ne parvenaient pas à se frayer un chemin vers le but bien gardé par Yoan Duval. En fin de match, les esprits s’échauffaient doucement du côté biennois, ce qui a contraint l’arbitre à distribuer quatre avertissements au cours de la même minute, dont deux à Bakiu. Même l’entraîneur biennois a été invité à quitter son banc. Cela n’enlevait rien au succès des Boncourtois qui ont su créer la surprise face à des Biennois toujours 4es. RMA (article du QJ du 15 avril 2019)
Nous vous présentons aujourd’hui un joueur de notre 1ère équipe, il s’agit de Vincent Aubert, défenseur expérimenté, nous l’avons rencontré et lui avons posé quelques questions afin que vous puissiez mieux le connaître ! Excellente lecture à vous !
INFORMATIONS PERSONNELLES
Nom
Aubert
Prénom
Vincent
Surnom
Vinc, Vin’s, Wiinch
Sexe
masculin
Âge
28 ans
Au club depuis
2 saisons
Travail
horlogerie
Poste de prédilection
défenseur
Habite à
Alle
Pedigree
QUELLES SONT TES PRINCIPALES QUALITÉS ?
J’essaie de toujours donner le maximum de moi-même et je ne laisse jamais tomber mes proches.
En dehors du foot, quels sont tes hobbys?
Ski, Sorties, Gastronomie, VTT.
Que représente l’USB pour toi?
Un club qui a des superbes installations, une bonne politique et de l’Hendrick’S à la buvette dans des verres pures.
Quel est ton meilleur souvenir de foot?
Mes saisons au FCP !
QUEL COÉQUIPIER REDOUTES-TU LE PLUS ?
Jimmy Bottelli. Mais c’est plus en soirée que sur le terrain.
Le plus beau but que tu as marqué…
Je répondrai quand ça arrivera, je n’ai que des kretchas à mon actif.
Si tu pouvais mettre un petit pont à un de tes coéquipiers, ce serait…
Pastis Duval
QUELS SONT TES OBJECTIFS POUR CETTE SAISON ?
Eviter de jouer le maintien et pourquoi pas se qualifier en coupe Suisse sans oublier la DECIMOCUARTO.
TU GAGNES UNE FORTUNE À L’EUROMILLION, TU RACHÈTES UN CLUB, FAIS-MOI TON 11 DE RÊVE…
Affaibli par de nombreuses absences, Courroux, en dépit de quelques bons moments, a logiquement dû s’incliner samedi à domicile face à un Boncourt bien organisé et surtout solidaire. Un derby qui n’aura pas franchement déchaîné les passions. Malgré cette nouvelle défaite, les hommes de Claude Ciocchi restent dans le bon wagon. C’est toujours ça de pris. Grâce à leur succès, les garçons de Vincent Ducommun, eux, prennent un bon bol d’air pour se retrouver sixième de la hiérarchie.
On se surveille de près!Les coups de pieds ont été nombreux et souvent dangereux (photo Dédé Fridez)
Ne voulant certainement pas revivre le même sort qu’une semaine plus tôt à Courtételle (revers 2-1), Boncourt entamait ce duel le pied au plancher. Vite bien en place, il ne faisait pratiquement qu’une bouchée d’un adversaire déboussolé lors du premier quart d’heure. Néanmoins, la mainmise des Ajoulots restait stérile. La faute a un peu trop de précipitation. De jugeotte aussi en phase finale! Puis, Courroux trouvait insensiblement ses marques. À la 17e, sur la première réelle occasion du match, le jeune Saner (18 ans), débordait avec maîtrise sur le flanc gauche et adressait un centre précis pour Lüchinger. Mais ce dernier, bien qu’idéalement placé, ratait complètement son affaire. Dès lors, le jeu s’équilibrait. Tour à tour, les antagonistes poussaient quelques attaques intéressantes jusqu’à l’heure du thé. Sans conséquence toutefois au tableau d’affichage. On retiendra tout de même la volée de l’Ajoulot Meusy (43e), bien arrêtée par Maël Bourquard, et le coup de tête de Bottelli, qui était encore détourné en corner par le dernier rempart des Loups.
Le joker
Coup-franc bien placé, Micovic se concentre… (photo Dédé Fridez)Belle chorégraphie du mur… (photo Roger Meier)Le gardien se détend bien, mais … (Dédé Fridez)
Le but est marqué! Boncourt exulte (photo Dédé Fridez)
Au retour des vestiaires, les deux équipes paraissaient craintives. En tout cas, aucune n’osait prendre de risques. Tant et si bien que les possibilités de marquer étaient inexistantes jusqu’à la 60e. C’est alors que Boncourt se décidait à prendre le taureau par les cornes. Et à la 65e, il obtenait un coup franc que Micovic, entré en cours de jeu, expédiait adroitement au bon endroit. 0-1! À la 74e, Courroux pointait enfin son nez devant. Monnerat centrait pour Bessire, leque de la tête, ratait la cible d’un rien. On se disait alors que ce derby allait s’emballer durant le final. Mais que nenni! Fatigué, le FCC ne trouvait plus les ressources pour créer le danger et l’USB se contentait de gérer son maigre avantage jusqu’au terme de cette partie. MARCEL LOVIS
Grâce à une bonne voire à une très bonne seconde mi-temps, Courtételle s’est adjugé le premier derby du second tour face à Boncourt, lequel menait pourtant encore à l’heure du thé. Une victoire somme toute logique pour la formation vadaise.
Il ne fallait pas être en retard au centre sportif samedi. Après moins d’une minute de jeu, Boncourt, profitant d’un Courtételle pas encore à son affaire, prenait les devants. C’est Cerf qui récupérait le ballon mal négocié par le défenseur Mottaz pour ouvrir les feux. À la 5e, Nicolas Journet aurait pu donner deux longueurs d’avance à ses couleurs si son missile avait été un tantinet plus précis.
À la 7e, réaction des «vert», qui développaient une action bien ficelée, conclue par un tir croisé de Jacquel, qui flirtait avec le montant gauche de la cage défendue par Bastien Borruat.
La suite? Pauvre en calories. Les garçons de Vincent Ducommun se contentaient de s’appuyer sur leur acquis, tandis que ceux de José Pedro Gonzales, imprécis et peu imaginatifs, ne parvenaient pas à bousculer une arrière-garde ajoulote qui paraissait pourtant assez fragile. Il y a bien eu un essai de Cerf à la 36e et un autre de Rodriguez à la 42e, mais rien de bien consistant.
Tom Cerf a ouvert le score, mais ça n’a pas suffit pour ramener quelque chose de Courtételle (photo Dédé Fridez)
Au retour des vestiaires, Courtételle enclenchait immédiatement la deuxième. Avec l’entrée de Ferrara à la 49e, Schwab et les siens se montraient alors menaçants. À la 52e, Ferrara, justement, était fauché dans la surface de réparation par une jambe ajoulote. Penalty indiscutable, que transformait Jacquel sans bavure. Cette égalisation donnait des ailes au FCC. Ainsi, à la 58e, superbement servi par Jacquel, Ferrara, encore lui, renversait la tendance, d’un tir croisé avec l’aide du poteau droit du but adverse.
Pénalty indiscutable pour Courtételle (photo Dédé Fridez)
Vous avez dit coaching gagnant? Ce 2-1 déstabilisait complètement Boncourt, qui n’arrivait plus à se frayer un chemin vers le camp rival. À la 77e, le 3-1 se dessinait. Mais l’intenable Jacquel, qui s’était retrouvé quasi seul face au dernier rempart des «rouge», expédiait son bolide sur la transversale.
Puis, dix dernières minutes de folie. Les frontaliers retrouvaient un second souffle et les Vadais tentaient tout pour enfoncer le clou. Toutefois, malgré des occasions de chaque côté, notamment l’envoi du cuir sur la transversale de Nicolas Journet, le tableau d’affichage ne bougera plus avant la fin de la rencontre. MARCEL LOVIS (article du QJ du 1er avril 2019)
L’US Boncourt aura eu toutes les peines du monde pour venir à bout d’un vaillant Malleray-Bévilard. Mais au bout des prolongations, au bout des pénaltys, ils ont obtenu leur place en finale.
Le match avait pourtant bien débuté sous un généreux soleil, Boncourt maîtrisant son adversaire et se créant quelques percées et coups de pied arrêtés. Sur un mauvais renvoi de la défense et suite à un cafouillage, Riedo n’avait plus qu’à pousser la balle au fond des filets, 1-0, on jouait la 23ème minute. Après cette ouverture du score, les équipes se sont neutralisées et se sont crées peu d’occasions de buts.
Les duels ont été nombreux sur une pelouse difficile (photo YAB)
Bévilard se rebiffe.
Après le thé, c’est Bévilard qui a mieux maîtrisé son adversaire, bien que celui-ci, en contre aurait pu et dû mettre le numéro 2 sur un centre tendu de Borruat, mal repris par les attaquants de Boncourt alors que le gardien était battu. On jouait la 55ème minutes. Finalement sur un centre aérien et vicieux, Duval, bousculé, relâchait le ballon que Morina ne s’est pas fait prier de mettre au fond des goals! 1-1 à la 77ème minute. En fin de partie, chaque équipe a eu l’occasion de prendre l’avantage, mais les tirs n’ont pas été ajustés, sur un terrain, il est vrai, quelque peu bosselé.
Prolongations et tirs aux buts.
La séquence des tirs aux buts observée avec fébrilité par les deux équipes (photo YAB)
Rien ne sera marqué dans les prolongations, il faudra donc attendre les tirs aux buts pour départager les adversaires du jour. Dans cet exercice quelque peu cruel, c’est Boncourt et son excellent portier Duval qui ont fait la décision.
Boncourt retrouve donc la finale de la coupe jurassienne deux ans après l’avoir jouée, Rappelons que l’US Boncourt avait gagné cette coupe deux années de suite, en 2015 et 2016.
La place des trophées est prête, à vous de jouer Messieurs. (YAB)
US Boncourt- FC Malleray-Bévilard: 1-1 (1-0); 6-5 tirs aux buts
Le traditionnel tournoi de l’US Boncourt a tenu toutes ses promesses sur le parquet du «chaudron», qui accueille habituellement les matches du BCB. Pas moins de 34 équipes y ont participé, vendredi et samedi.
Les dames ont ouvert le bal vendredi soir. Sur les huit équipes engagées, ce sont les footballeuses du Groupement féminin Vallée qui ont su le mieux tirer leur épingle du jeu en hissant leurs deux équipes en finale. Lors de celle-ci, l’équipe B a eu raison de l’équipe A, au terme d’une journée intense faite de matches de six minutes.
Les 2 équipes du groupement féminin la vallée finalistes de cette 22ème édition (photo Dédé Fridez)
Après les dames, c’est la catégorie «Vintage», réservée aux anciens, qui a pris le relais. Là, c’est le «Team Amaretto» qui s’est illustré en remportant la finale contre la «Joyeuse Gouttière» sur le score sans appel de 6-0.
Les « vieilles gloires » du football jurassien ont encore de beaux restes… (photo Dédé Fridez)
Le clou du spectacle a eu lieu samedi avec l’entrée en lice des jeunes. À l’issue d’un tournoi intense, quatre équipes sont parvenues en demi-finales. Le match entre «La Famille» et l’«Olympique de Paris» a été riche en émotions et la place en finale âprement disputée. Au final, c’est l’«Olympique de Paris» qui l’a emporté 3-2. Lacheux a réussi un doublé, Sacconi a scoré sur une jolie frappe depuis la ligne médiane. Les réductions du score de «La Famille» à deux reprises n’y ont rien changé.
Dans l’autre demi-finale, «Les Peignes» ont battu «Gigs Station» 3-1 grâce notamment à un doublé de Vitali. «Gigs», équipe composée de joueurs du FC Courgenay, n’a rien pu faire face à des «Peignes» emmenés par un très bon Nathan Ducommun.
Une finale de qualité
La finale tant attendue entre «Les Peignes» et l’«Olympique de Paris» a tenu toutes ses promesses. Proposant un football de qualité, avec des joueurs évoluant tous dans des clubs de la région, cette finale a donné lieu à de jolis gestes techniques, sur une surface réduite comme le permet le football en salle.
Les Peignes et l’Olympique de Paris ont proposé un beau spectacle et une belle finale (photo rama)
Très vite, Ducommun, qui évolue au FC Bassecourt, a donné l’avantage aux siens sur une superbe frappe. Lacheux a égalisé en déviant de la tête une frappe de Nyoka, surprenant ainsi Borruat. «Les Peignes» auraient alors pu doubler la mise, mais une frappe puissante de Ducommun était repoussée par le poteau gauche. C’est finalement aux tirs au but que les deux meilleures équipes du tournoi ont dû être départagées. L’«Olympique de Paris» n’a réussi que deux tirs sur quatre (Sacconi et Gouffran), alors «Les Peignes» en ont transformé trois (Ducommun, Prêtre et Mottaz). Vainqueurs 3-2, «Les Peignes» ont ainsi remporté l’édition 2018 du tournoi boncourtois, après l’avoir dominé.
«C’était superbien!»
Au micro, Nathan Ducommun, lequel a marqué 12 buts durant la journée, lâchait: «C’était ma première participation, ici à Boncourt. C’était superbien! On a présenté une équipe soudée et solidaire, bien en place.»
De son côté, Alessio Sacconi se montrait fair-play: «Les Peignes méritent leur victoire, ils étaient plus forts.»
Le tournoi indoor de l’US Boncourt continue à susciter toujours autant l’intérêt des joueurs jurassiens, et c’est heureux. RIAD MAACHE
Finale messieurs.
Olympique de Paris – Les Peignes 1-1, 2-3 t.a.b. –
Olympique de Paris: Broyot; Nyoka, Gouffran, Sacconi, Lacheux, Noundou.
Les Peignes: Borruat; Mottaz, Ducommun, Prêtre, Bottelli, Simoes, Vitali.
Finale dames.
Groupement féminin Vallée B – Groupement féminin Vallée A 4-3 T.A.B
Pour l’US Boncourt, à Bienne face à Aurore, il n’y eut pratiquement pas de round d’observation. Duval était inquiété à deux reprises par des essais de Justino et les frontaliers ouvraient le score à la 12e. À la suite du cinquième corner tiré par Micovic, Halbeisen qui ne laissait aucune chance à Regazzi. Puis Ekoman commettait une faute de main dans ses 16 mètres mais le sifflet de l’arbitre restait muet. Duval sauvait ensuite à deux reprises devant Bahlouli (27e et 32e).
Patrick Oliveira Simoes a marqué son dernier but pour Boncourt, permettant à son équipe de ramener un point qui vaudra sans doute cher à la fin du championnat (photo Dédé Fridez)
À quatre minutes de la mi-temps, une rapide contre-attaque permettait au néopromu d’égaliser par Bahlouli. Les protégés de Vincent Ducommun reprenaient l’avantage par Oliveira Simoes qui profitait d’un cafouillage. Duval était chanceux à la 70e lorsqu’un coup franc de Bento frappait la base de son poteau gauche. Lacheux profitait ensuite d’un excellent centre de Dylan Henzelin pour marquer le troisième. Il aura fallu une faute inutile de Micovic pour permettre à Aurore de revenir à une longueur sur penalty. Malgré les consignes, les «rouge» ne parvenaient pas à conserver le ballon. Un corner était repris de la tête par Margheriti qui égalisait. Aïe! Source: ASO, QJ du lundi 5 novembre 2018, p.25
Dernier match pour Boncourt à domicile pour Thomas Sabot et Patrick Oliveira.
Gilbert Goffinet, président du club, tenait à remercier et souhaiter plein succès à Patrick et Thomas pour l’excellent travail fourni pour le club, sur le terrain, mais aussi dans toutes les autres activités du club (photo Dédé Fridez)
En effet, ces deux joueurs ne seront plus présents dans l’équipe première à la reprise. Le 1er nommé pour construire une maison et passer plus de temps en famille, le second pour rejoindre définitivement les siens au Portugal.
L’USBoncourt tenait à remercier chaleureusement ces deux excellents joueurs qui auront porté haut les couleurs de notre club. Nous leur souhaitons plein succès dans leurs futurs projets.
Une semaine après sa lourde défaite à Courgenay, Boncourt a su s’imposer sur son terrain. Une victoire qui redonne du baume au cœur à la troupe de Vincent Ducommun.
Face à la lanterne rouge, et sur une pelouse glissante, les Boncourtois ont rapidement su imposer un rythme soutenu. Mais la première occasion franche n’intervenait qu’au retour du thé. Réceptionnant un ballon excentré bien dosé de Simoes, Gaylord Prêtre, depuis le flanc gauche, armait en première intention pour décrocher une jolie frappe fructueuse, ouvrant ainsi la marque.
(photo Dédé Fridez)
Schönbühl jouait crânement sa chance, à l’image de ce tir cadré contrôlé avec assurance par Duval ou de cette tentative de Reichsteiner qui frôlait le cadre. Boncourt se faisait des frayeurs avec un penalty concédé à l’approche de la fin du temps réglementaire. Mais Yoan Duval, encore une fois, se montrait décisif face à Gojani. Sabot, par la suite, aurait pu doubler la mise mais son tir était contré par le portier alémanique.
Un succès qui fait du bien au moral de la troupe de Vincent Ducommun. RMA